Enable JavaScript.

1966: Sweet Revenge

It was the middle of a hot summer night and the droning sounds of machines surrounded me. I struggled to stay awake. My partner, Joe, was working in the chemical reactor and I was supposed to be his safety man, but it was also our seventh night on the midnight shift. My eyes slowly closed, and I was fast asleep.

Suddenly, there was a crash. The lid of a steel drum had been flung onto the floor next to me. I jumped at the sound and bashed my head on an overhead valve. In the control room, I could hear some of the regulars laughing.

It was the second summer that I worked in the chemical factory. Six college students worked the same shifts as regular workers who weren't on vacation. We all became close friends, especially with our partners. Most of the regular workers were pretty decent to us, but during the course of the summer we were all the butts of practical jokes. Eventually, though, we noticed that one man, named Matt, was always working nearby, and that he always laughed the hardest.

We took it all summer, but on the last day of work before returning to college, we took our revenge. Matt was also working that day. While he was cleaning the bottom of a reactor, we quietly slipped half a dozen water hoses into the manhole of the reactor. At a signal, the valves to all of these hoses were simultaneously opened, rapidly filling the reactor chest deep.

"I'll get you bastards." Matt screamed from the depths of the reactor. He scrambled up the ladder and through the manhole, soaking wet, looking like a drowned rat, and furious. We all looked away innocently, but we could not prevent ourselves from laughing.

Harry, our boss, ran into the room, attracted by the noise, and immediately spotted Matt. He just shook his head and told him "You had it coming. Now clean up this mess."

Matt was still mad when we left the factory at the end of the day to return to our respective colleges. Having the last laugh was a sweet revenge.

1966: Une douce revanche

C'était au milieu de la nuit chaude en été et le bourdonnement de beaucoup de machines me submergeait. J'essayais de rester éveillé. Mon partenaire, Joe, travaillait dans le réacteur chimique et j'étais censé veiller à sa sécurité, mais c'était aussi notre septième nuit de l'équipe de minuit. Mes yeux se fermaient lentement et je m'endormais.

Soudain, il y a eu un effondrement. Le couvercle d'une barrique en acier avait été jeté sur le plancher près de moi. Je me suis levé d'un bond et je me suis cogné la tête à une soupape. Dans le centre de contrôle je pouvais entendre les employés à plein-temps s'esclaffer.

C'était le deuxième été de mon travail dans l'usine chimique. Six étudiants de l'université travaillaient dans la même équipe comme les ouvriers à plein-temps qui n'étaient pas en vacances. Nous devenions de bons amis, spécialement avec nos partenaires. La plupart des employés à plein-temps étaient sympa, mais pendant l'été nous étions tous les cibles de blagues. Éventuellement, nous remarquions un homme, qui s'appelait Matt, qui travaillait près de nous tout le temps et qui riait le plus fort.

Nous le supportions tout l'été, mais le dernier jour de travail avant de retourner à l'université, nous prenions notre revanche. Matt travaillait aussi ce jour-là. Pendant qu'il nettoyait le fond d'un réacteur, nous avons mis calmement six grands tuyaux d'eau dans la bouche d'égout du réacteur. Au signal, les soupapes de tous les tuyaux se sont ouvertes en même temps, remplissant le réacteur jusqu'à la poitrine de Matt.

««Je vous aurais bâtards ! » a crié Matt du fond du réacteur. Il est monté à l'échelle et est sorti de la bouche de l'égout. Il était trempé comme un rat noyé et il était furieux. Nous essayions de ne pas le regarder innocemment, mais nous ne pouvions pas nous empêcher de rire.

Harry, notre patron, a couru dans la salle des réacteurs, attiré par les bruits. Il a regardé Matt et lui a dit : « Il fallait t'y attendre. Nettoie ce bordel ! »

Matt était encore en colère quand tous les mômes sont partis de l'usine ce jour-là. Avoir le dernier rire était une douce revanche.